Hier soir, le RCT a pulvérisé une équipe de Brive (13-53) réduite à quatorze après 25 minutes de jeu. comparateur bookmakers meilleurs sites paris sportifs en ligne paris en ligne sites paris sportifs comparatif

Les dernières sorties du RC Toulon, battu à deux reprises et ennuyeux vainqueur de Bordeaux-Bègles, avaient commencé à éveiller quelques doutes. Pas pour très longtemps. comparateur bookmakers meilleurs sites paris sportifs en ligne paris en ligne sites paris sportifs comparatif

Hier soir, le champion de France et d’Europe en titre a tapé du poing sur la table et remis de l’ordre dans ses idées. Il s’y est employé là où il avait sombré (23-10), la saison passée. Ce revers avait, alors, jeté un grand trouble dans les rangs varois avant le final que l’on sait au printemps. Cette fois, le RCT est reparti de Brive en ayant dissipé pas mal d’interrogations à son sujet. comparateur bookmakers meilleurs sites paris sportifs en ligne paris en ligne sites paris sportifs comparatif

L’expulsion de Peet Marais a été un élément non négligeable de cette balade en Corrèze. Pour le CAB, l’entame du match avait déjà été compliquée, mais à 14 contre 15, c’était devenu mission impossible. comparateur bookmakers meilleurs sites paris sportifs en ligne paris en ligne sites paris sportifs comparatif

Cette fructueuse opération est une sacrée mise en lumière pour un effectif toulonnais, dont on vantait la richesse, cet été. Même privé de plusieurs cadres (Fernandez Lobbe, Botha , Habana en sélection ; A. Williams, Gorgodze, Castrogiovanni blessés), le RCT a suffisamment de ressources pour maintenir le train de vie d’une équipe de tête. comparateur bookmakers meilleurs sites paris sportifs en ligne paris en ligne sites paris sportifs comparatif

Hier, Bemard Lapone avait ainsi remanié son XV par choix ou en fonction des circonstances. De retour de blessure, Matt Giteau et Sébastien Tillons-Borde ont composé une charnière des plus entreprenantes. Le très polyvalent James O’Connor, lui, avait été aligné à l’aile où il excella davantage que face aux perches (3/5). Au centre, Maxime Mermoz et Rudi Wulf faisaient la paire, Mathieu Bastareaud ayant commencé sur un banc où s’étaient également assis Carl Hayman et Jocellno Suta entre autres. Leur entrée en 2′ période allait encore accentuer le calvaire de Brivistes qui n’ont jamais existé dans cette partie.

Le RCT aurait pu prendre les devants sur un essai de Delon Armitage au bout d’un quart d’heure déjà, mais après un cadrage d’école, la transmission de Rudi Wulf pour son coéquier avait été jugée incorrecte (en-avant) par M. Gauzère. En revanche, un peu plus tard, ce dernier valida le deuxième sprint dans l’en-but du même Armitage, le tout dans une certaine confusion. Cette phase de jeu s’était développée à la suite d’un regroupement plutôt musclé et pendant que l’arrière du RCT, exploitant un superbe travail de lames O’Connor, avait enclenché le turbo, Peet Marais avait ainsi joué du poing sur Romain Taofifenua. La sanction de l’arbitre fin sans équivoque: le 2e ligne briviste regagna les vestiaires prématurément et définitivement.

Dominateur depuis le coup d’envoi – à l’exception de deux séquences délicates sur des charges de Koyamaibole -, et désormais en supériorité numérique, le RCT allait appuyer là où les Brivistes avaient déjà eu mal auparavant, c’est-à-dire dans l’axe.

C’est encore Delon Armitage, intenable hier, qui devait mettre au supplice un CAB complètement dépassé. Après un coup de pied rasant de l’Anglais, Wulf s’échappa dans l’intervalle pour bonifier la géniale initiative de son partenaire. Et que dire de cette inspiration de Giteau ? Incisif dans le coeur du jeu, l’Australien provoqua une brèche béante au milieu de terrain. Son compatriote et ami, DrewMitchells’y engouffra pour asséner un gros coup de massue sur les têtes corréziennes.

Ce n’était rien encore à côté de ce qui allait attendre le CAB après la pause. Sous l’impulsion d’un Giteau on ne peut plus éclairé, les Toulonnais devaient dérouler et chacune de leurs offensives, ou presque, fut couronnée par un essai. Huit au total. Un festival!

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